Revue de presse du 31 janvier au 5 février 2018

Liste des articles publiés dans la presse entre le 31 janvier 2018 au 5 février 2018 :

« C’est à notre tour de nous bouger le cul »: les étudiants parisiens installent des migrants dans la fac de Paris 8

Après Nantes et Lyon, un regroupement autogéré de collectifs parisiens occupe un bâtiment entier de l’université Paris 8, à Saint-Denis depuis mardi 30 janvier. Ils y ont logé de force une trentaine de migrants qui y ont passé la nuit sans être évacués. Récit de cette première journée d’occupation.

A l’université Paris-VIII, un bâtiment réquisitionné pour loger des migrants

Depuis mardi, le bâtiment A de l’université Paris-Vincennes-Saint-Denis, historiquement de gauche, est occupé par des étudiants et des migrants. Le but : revendiquer la liberté de circulation et permettre aux exilés, qui habituellement dorment dans des campements, de s’organiser politiquement.

Saint-Denis : des migrants occupent la faculté Paris 8

Ils réclament la fin des distinctions entre les migrants.
Une trentaine de migrants occupaient jeudi pour le troisième jour consécutif des locaux universitaires à Saint-Denis pour réclamer notamment «la fin de la distinction entre migrants économiques et réfugiés politiques».

Squatte ma fac : Paris 8, laboratoire de l’activisme

Un collectif a décidé d’héberger des réfugiés dans les locaux de la fac de Saint-Denis. En appliquant des méthodes dignes d’une start-up militante.

Des exilés campent à l’université de Saint-Denis

Depuis le mardi 30 janvier, un bâtiment de l’université Paris 8 est occupé. Le but ? Héberger des exilés qui dorment à la rue. Pour certains, c’est la première nuit au chaud depuis longtemps.

À Paris VIII, les exilés mènent l’occupation

Depuis le 30 janvier, des exilés et leurs soutiens ont réquisitionné un bâtiment de l’université Vincennes-Saint-Denis. Cuisine, dortoir, négociations avec la présidence : la vie collective s’organise, pour répondre à l’urgence d’un toit, et porter la voix politique des personnes migrantes.

Des migrants occupent des locaux de l’université Paris 8

Depuis mardi 30 janvier, une trentaine de migrants vivant dans les rues de Paris occupe un bâtiment de l’université Paris 8, à Saint-Denis (région parisienne). Soutenus par des dizaines d’étudiants et de militants, ils réclament notamment la fin de la procédure de Dublin et l’accès à un logement.

Des exilés à la rue occupent la fac de Paris 8

Une occupation par des exilé.e.s à la rue et leurs soutiens est en cours actuellement à l’université Paris 8 à Saint-Denis. Le Gisti soutient leur lutte.

Saint-Denis, Nantes, Lyon… Quand les étudiants hébergent les migrants

Une trentaine de migrants occupent depuis mardi 30 janvier des locaux universitaires à Saint-Denis, en région parisienne. Ils réclament notamment « la fin de la distinction entre migrants économiques et réfugiés politiques ». Une situation qui rappelle la mobilisation des étudiants nantais depuis le mois de novembre dernier.

Une cinquantaine de migrants occupe depuis six jours un bâtiment de l’université Paris-VIII

Originaires d’Afrique, ils demandent des papiers et un logement. La présidence de l’université de Saint-Denis leur a proposé sans succès de changer de bâtiment.

Des exilés occupent un bâtiment de l’Université Paris 8

Aux récentes accusations portées contre la gestion étatique de la “crise migratoire”, les institutions (que ce soit par la voix d’un préfet, d’une maire, d’un ministre de l’intérieur ou d’un journaliste complice) répondent systématiquement de la même manière : “la situation est complexe, vous niez les exactions commises contre les forces de l’ordre, le contexte, la gestion humanitaire de la situation”. Dis autrement : “circulez, et mélez-vous de vos fesses”. En dernier recours, “on” (par exemple un journaliste de Nord Littoral à un écrivain médiatique récemment reconverti dans l’indignation) accusera toute prise de parti “pro-migrants”, d’accentuer une dichotomie ralentissant le “réglement” de la situation.

Des exilés occupent un bâtiment de l’Université Paris 8

« Nous voulons des excuses publiques pour les milliers de vies détruites. »